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Day 2 : Price’s Insane Season

December 2, 2020, 4:48 PM ET [294 Comments]
Karine Hains
Montreal Canadiens Blogger • RSSArchiveCONTACT
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Of course, as hockey fans, we always want our team to win the Stanley Cup, but only one team can claim the ultimate prize every year. So, for the other 30 teams, you have to find consolation prizes where you can. In some seasons, it’s hard to do but back in 2014-2015 Carey Price made it very easy for us by playing a season for the ages.

Price has it all, the skills, the talent and the devil may care attitude. He’s out there night in, night out seemingly impossible to rattle and just acts like a wall in front of the Habs’ net. We’re used to it, he’s been there for over 10 years now but in his multiple individual honours winning season he was nothing short of super human. That year, he played 59 games, won 44 (a franchise record beating Jacques Plante who had 42 back in the 50s and 60s and Dryden in 76), lost 16 in regulation and 6 in OT. His numbers were insane, a 1.96 goals against average, a .933 save percentage (beating Théodore’s record from 2001-2002) and an incredible 9 shutouts.

But it wasn’t just the numbers, I’ll let the images speak for themselves:


There are just so many highlight reels saves on there and some on the best players in the game, just watching that video gives me goosebumps. In fact, I loved that season so much that when Upper Deck asked me and my buddy Richard McAdam to devise a set as an add-on to the Montreal Canadiens’ Centennial Memorable Moments set, we both selected that Price season as one moment that just had to be included. We even got to select the picture for the card and for me it just had to be Price not only posing with the Vezina, Jennings, Lindsay and Hart awards, but that one shot when he’s sort of goofing around. The man is a picture of seriousness on the ice, he gives Jonathan Toews a run for his money in that department but on that night, it was all about enjoying the moment:



In the bubble, Carey showed us that he still has it and now, with Jake Allen’s acquisition, maybe just maybe he won’t be used as much and he’ll be able to wow us all again, here’s to hoping! And hey if the Habs are reading, on opening night that year on the 16th October 2014, Ken Dryden passed on the torch to Carey…how about we repeat that scenario and see if it makes for a magic season again? What, are you really surprised that a hockey fan is superstitious?



Bien sûr, en tant que fan de hockey, nous voulons toujours voir notre équipe remporter la Coupe Stanley, mais une seule équipe peut remporter les grands honneurs chaque année. Donc, pour les 30 autres équipes, il faut trouver les prix de consolation là où ou le peut. Pendant certaines saisons, c’est difficile à faire mais en 2014-2015, Carey Price nous a rendu la tâche très facile en jouant une saison d’enfer.

Price a tous les atouts, les habilités, le talent et l’attitude. À tous les soirs, il est sur la glace et projette un extérieur d’acier comme s’il était impossible à déconcentrer et agi comme un mur devant le filet du CH. Nous sommes habitués, après tout il est là depuis plus de 10 ans, mais dans cette saison où il a multiplié les honneurs individuels, il était tout simplement surhumain. Cette année-là, il a joué 59 matchs, en a remporté 44 (un record de franchise battant Jacques Plante qui en avait eu 42 dans les années 50s et 60s et Dryden en 76), en a perdu 16 en temps réglementaire et 6 en surtemps. Ses chiffres étaient tout simplement débiles, une moyenne de but alloué de 1.96, un pourcentage d’arrêt de .933 (battant le record de Théodore de 2001-2002) et un incroyable 9 jeux blancs.

Mais c’était plus que juste les chiffres, je vais laisser les images parler d’elles-mêmes :


Il y a tellement d’arrêts dignes des jeux de la semaine dans cet extrait et certains contre les meilleurs jouerrs de la ligue, juste de regarder cette vidéo me donne des frissons! En fait, j’ai tellement aimé cette saison que quand Upper Deck nous a demandé à mon ami Richard McAdam et à moi-même de sélectionner des moments pour compléter le set Fait marquants de la série du centenaire du Tricolore, nous avons tous deux sélectionner cette saison de Carey comme un moment qui devait absolument être inclus. On a même pu choisir la photo pour la carte et pour moi, ça devait non seulement être celle où il posait avec les trophées Vézina, Jennings, Hart et Lindsay mais celle où il nous laisse voir son excitation. Sur la glace, le gars est l’image même du sérieux, il n’a rien à envier au « Captain serious » Jonathan Toews mais ce soir-là, il profitait vraiment du moment.



Dans la bulle, Carey nous a montré qu’il l’avait encore et maintenant, avec l’acquisition de Jake Allen, peut-être, juste peut-être qu’il sera moins sollicité et qu’il sera en mesure de nous émerveiller encore et encore, espérons-le! Et si jamais quelqu’un du CH lit ce blogue, le soir de l’ouverture de la saison cette année-là, le 16 Octobre 2014, Ken Dryden a passé le flambeau à Carey…alors, que diriez-vous de répéter le scénario et de voir si l’effet est aussi magique? Quoi? Vous êtes surpris qu’une fan de hockey soit superstitieuse?

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