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Before coming to Montréal from Nashville in the then rather controversial P.K. Subban deal, Shea Weber spent 11 seasons with the Predators putting up great numbers and being a model of consistency and durability. In 763 games with the Tennessee outfit, he gathered 443 points, 568 penalty minutes and a +48 rating. He was also a bit of an Iron Man, rarely missing time due to injuries and just being a trooper by playing through them.
On the international stage, Weber’s name is known worldwide because of a decorated career which saw him win a World Junior Championship, 1 World Championship, 1 World Cup, 2 Olympic games gold medals and a World Championship silver medal. A fixture on Team Canada’s blue line for years, Shea Weber deservedly ended up wearing the C for the national team and earned recognition and respect from players, execs and fans alike. It’s when Mike Babcock coached him on Team Canada that he received a very suitable nickname “Man Mountain”.
Years later, Weber will not be playing with the Canadiens this upcoming season or perhaps ever, and he will undoubtedly be leaving a Man Mountain sized hole in the Montreal defense corps. After looking invincible for his 11 years in Nashville, Weber started being plagued by injuries in his second season with the Canadiens. A broken foot, a troublesome ankle, knee issues and now a thumb problem have all taken their toll on the Habs’ captain. After the Habs’ loss in the Stanley Cup final, Weber looked unusually emotional and knowing what we know now, it all makes sense, the Man Mountain knew he was starting to crumble and couldn’t take the pain anymore.
Out of a possible 384 games in the 5 seasons he played for the Tricolore, the defender played only 275 games during which he picked up 146 points, 146 penalty minutes and a +31 rating. What Weber brought to the Canadiens was much more than numbers, however. When he arrived in Montreal, the Canadiens had a divided locker-room and were in dire need of a leadership overhaul. Weber stepped right in, even though he wasn’t given the C right away because Max Pacioretty had the gig, he acted like he was captain for all intents and purposes. Straight away, the Habs rallied around him and followed his lead, when Pacioretty was traded, it was a foregone conclusion for Bergevin to give him the title of captain.
While Weber’s time as a Habs appears to be over, he will have given us plenty or great memories and will be remembered as an exemplary leader long after he’s gone. Who doesn’t remember how Weber’s fury was unleashed on J.T. Miller in game 2nd of the 2017 playoffs series against the Rangers? And what about those patented Weber Rockets? He scored 58 goals wearing the red, white and blue and most of them came from his booming shot from the blue line. In the playoffs, he was a wrecking-ball hitting everything and everyone and a real pain to play against. Soft skilled players didn’t stand much of a chance against Weber’s punishing style of play, and it will no doubt be missed by his teammates. In 22 post season games this year, he landed 72 hits and was the Canadiens’ best defender.
Sure, Weber had his best years in Nashville, but at the end of the day, the Canadiens greatly benefited from his presence as soon as he arrived and it’s safe to say that he’s had much more of an impact on the Canadiens’ franchise than P.K. Subban had on Nashville’s. 5 years down the line, I think it’s clear that Marc Bergevin won that trade, and you have to admire the guts he had to pull the trigger on that deal. Trading a young Subban for an aging Weber was seen as a mistake by many and when he was asked why he didn’t ask for someone on top of Weber in the deal, he answered: “When you are offered Shea Weber, you don’t need to ask for anything else.” I didn’t like that answer back then, but today, I get it. Thank you, Shea, for altering the face and the culture of the Montreal Canadiens, you’ll forever be remembered as one of the greatest captains ever.
Avant d’aboutir à Montréal par le biais du controversé échange de PK Subban, Shea Weber a passé 11 saisons avec les Prédateurs de Nashville récoltant d’impressionnantes statistiques et étant un modèle de constance et de durabilité. En 763 matchs avec l’équipe du Tennessee, il a récolté 443 points, 568 minutes de pénalités et un différentiel de +48. Il était également comme un homme de fer, manquant rarement des matchs en raison de blessures et faisant preuve de courage pour jouer lorsqu’il n’aurait peut-être pas dû.
Sur la scene international, le nom de Weber est connu mondialement en raison d’une carrière parsemée des plus grands honneurs : 1 championnat Mondial junior, 1 championnat Mondial, 1 Coupe du Monde, 2 médailles d’or olympiques et une médaille d’argent du championnat Mondial. Un régulier à la ligne bleue de l’équipe Canadienne pendant de nombreuses années et avec raison, Shea Weber s’est retrouvé à porter le C pour l’équipe nationale et avec raison. Il s’est mérité reconnaissance et respect de la part des joueurs, dirigeants et fans. C’est quand Mike Babcock a été son entraîneur avec Équipe Canada qu’il a reçu le très approprié surnom de “Man Mountain” (montagne humaine).
Des années plus tard, Weber ne jouera pas pour les Canadiens cette saison et peut-être plus jamais et il laissera définitivement un trou de la taille d’une montagne humaine à la ligne bleue du Tricolore. Après avoir eu l’air invincible pendant ses 11 années à Nashville, Weber a commencé à être ennuyé par les blessures dès sa 2e saison avec Montréal. Un pied cassé, des problèmes de de cheville, un genou amoché et maintenant un pouce affecté, tout cela est devenu pesant pour le capitaine du CH. Après la défaite des Habs en finale de la Coupe Stanley, Weber a semblé incroyablement émotionnel compare à son air impassible habituel et sachant ce que l’on sait maintenant, on comprend pourquoi ; la Montagne humaine avait commencé à s’effriter et ne pouvait plus endurer sans broncher.
Sur 384 matchs possible en 5 saison dans la belle province, Weber n’a pu jouer que 275 matchs pendant lesquelles il a amassé 146 points, 146 minutes de punitions et un différentiel de +31. Toutefois, ce que Weber a apporté au CH était beaucoup plus que ces chiffres. Quand il est arrivé en ville, les Canadiens avaient un vestiaire divisé et avaient bien besoin d’un renouvellement de leadership. Weber s’est élevé comme leader dès le départ et même s’il ne s’est pas fait donner le C tout de suite parce que Max Pacioretty remplissait déjà ce rôle, il s’est immédiatement comporté comme un capitaine. Les Canadiens se sont immédiatement ralliés à lui et l’ont suivi à la guerre. Quand Pacioretty a été échangé, c’était écrit dans le ciel que l’état-major lui remettrait le titre de capitaine.
Même si les jours de Weber avec les Canadiens semblent être comptés, il aura tout de même donné une multitude de bons souvenirs et sera pour toujours reconnu comme un incroyable leader longtemps après sa retraite. Qui ne se souvient pas comment un Weber en furie avec tabassé J.T. Miller dans le 2e match de la série de 2017 contre les Rangers? Et que dire de son fameux lancer frappés de la pointe? Il a marqué 58 buts dans l’uniforme bleu, blanc, rouge et la plupart d’entre eux sont venus de son missile de la ligne bleue. Pendant les dernières séries, il avait des airs de rouleau compresseur, frappant tout ce qui bougeait et étant incroyablement difficile à affronter. Les joueurs talentueux mais peu robuste ne faisaient pas le poids devant le style de Weber, et ses coéquipiers s’en ennuieront certainement. En 22 matchs de séries, il a appliqué 72 mises en échec et a été le meilleur défenseur du Tricolore.
Oui, Weber a connu ses meilleures années à Nashville, mais au final, le CH a vraiment bénéficié de sa présence dès son arrivée et on peut certainement dire qu’il a eu un impact beaucoup plus important sur la franchise montréalaise que Subban sur celle de Nashville. 5 ans plus tard, je crois qu’il est clair que Marc Bergevin a remporté cet échange et on se doit d’admirer le courage dont il a fait preuve en concluant ce marché. Échanger un jeune défenseur contre un Weber vieillissant était vu comme une erreur par plusieurs et quand on lui a demandé pourquoi il n’avait pas demandé un autre joueur en plus de Weber lors de l’échange il avait répondu : “Quand on t’offre Shea Weber, tu n’as pas besoin de demander autre chose.” Je n’ai pas aimé cette réponse à l’époque, mais aujourd’hui, je la comprends. Merci Shea d’avoir à jamais altérer le visage de l’organisation, on se souviendra de toi comme l’un des meilleurs capitaines de l’histoire.